Les Harmonies - Billiers

LES ARTISTES DU FESTIVAL

Juliette Hurel est une des flûtistes incontournables de la scène musicale française et étrangère. Premier Prix de flûte et Premier Prix de musique de chambre à l’unanimité au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, elle est lauréate de nombreux concours internationaux tels que ceux de Darmstadt, Kobé, Bucarest ou le concours Jean-Pierre Rampal. En 2004, elle est nommée pour les « Révélations de l’année » aux Victoires de la Musique Classique.
Chambriste recherchée, elle se produit aux côtés de musiciens tels que Gary Hoffman, Youri Bashmet, Schlomo Mintz, Marielle Nordmann, Jean-Guihen Queyras, Stephen Kovacevich, le Trio Wanderer… On la retrouve régulièrement en soliste avec l’Orchestre d’Auvergne, l’Orchestre de chambre de Toulouse, l’Orchestre de Bretagne, l’Orchestre de l’Opéra de Rouen, l’Orchestre Symphonique et Lyrique de Nancy, « Les Siècles », le Tokyo Metropolitan Symphony Orchestra… Ainsi que sur de prestigieuses scènes telles que La Cité de la Musique, Grand Théâtre de Provence, la Roque d’Anthéron, les Folles Journées de Nantes, Festival de la Meije, Colmar, Auvers-sur-Oise, les Flâneries Musicales de Reims…
Depuis 1998, Juliette Hurel occupe le poste de flûte solo de l’Orchestre Philharmonique de Rotterdam dirigé par Valery Gergiev et depuis 2008 par Yannick Nézet-Séguin.
Ayant à cœur d’interpréter la musique d’aujourd’hui, elle a eu l’occasion de travailler avec des compositeurs tels que Pierre Boulez, Pascal Dusapin, Philippe Hersant, Eric Tanguy…
La discographie de Juliette Hurel comprend plusieurs enregistrements en compagnie de la pianiste Hélène Couvert, enregistrements qui ont reçu de nombreux prix et qui ont été chaleureusement salués par la critique : Martinu/Prokoviev, Lyrinx ; Musique française pour flûte du XXème siècle, Naïve-Valois ; Sonates de Haydn, Zig-Zag Territoires.
Juliette Hurel a également gravé les Concertos pour flûte et orchestre de C. P. E. Bach avec l’Orchestre d’Auvergne sous la direction d’Arie Van Beek chez Zig-Zag territoires. Son nouveau disque Debussy (dont le Trio pour Flûte, Alto et Harpe), Poulenc, Fauré paraîtra en mai 2011 toujours chez Zig-Zag Territoires. Artiste sincère et généreuse, elle est régulièrement invitée lors d’émissions de télévision telles que l’émission « Tandem » sur France 2, « Toute la musique qu’ils aiment » sur France 3. Sa participation au concert « Best of Bach » à la Folle Journée de Nantes 2009 a été diffusé sur Arte et un portrait lui a été récemment consacré sur la chaîne Mezzo.
Juliette Hurel est professeur au conservatoire de Rotterdam (codarts)

 Premier Prix du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris dans la classe de Dominique Merlet. elle se perfectionne ensuite auprès de Marie-Françoise Bucquet puis sur les rives du lac de Côme, à la fondation Theo Lieven où elle reçoit les conseils des plus grands Maîtres dont Leon Fleisher.
Elle se produit sur la scène de grands festivals – La Roque d’Anthéron, Piano en Valois, folles journées de Nantes, Festival de Radio France et de Montpellier, Piano aux Jacobins, Serres d’Auteuil… –, part en tournée aux Pays-Bas, en Espagne, à Hong Kong, en Lituanie, en Pologne et se produit en France avec entre autre l’Orchestre Philharmonique de Radio France sous la direction de Paul Mc Creesh, l’Orchestre d’Auvergne sous la direction d’Arie Van Beek, l’Orchestre Perpignan Méditerranée, l’Orchestre Symphonique d’Orléans… En musique de chambre, Hélène Couvert se produit régulièrement avec des partenaires privilégiés tels que la flûtiste Juliette Hurel…
Son premier disque solo consacré à Haydn sort chez Zig-Zag Territoires. Suivra un disque Beethoven tout aussi exaltant – deux disques récompensés par un “Choc” du Monde de la Musique, avant un enregistrement consacré à Janacek toujours chez Zig-Zag Territoires.
En musique de chambre, elle a réalisé plusieurs disques pour Lyrinx, Zig-Zag Territoires et Naïve avec  Juliette Hurel. Leur album consacré aux femmes compositrices à l’aube du XX e siècle est paru début 2020.

Presse: “La pianiste française fait montre d’une justesse de style et d’un souffle Beethovénien que ses ainés n’ont que rarement su exprimer” Le Monde de la Musique
“Hélène Couvert est une pianiste cultivée et une musicienne distinguée” Gramophone

Actuellement violoncelle solo de l’Opéra de Rouen, Florent Audibert est né en 1974 il commence le violoncelle avec son père au CNR de Nice, où il obtient ses prix à l’unanimité en violoncelle et en musique de chambre . En 1993 il entre au CNSM de Paris dans les classes de Jean-Marie Gamard et Jean Mouillère. Il obtient un premier prix de violoncelle et un premier prix à l’unanimité premier nommé de musique de chambre au sein du quatuor Kinsky, avec lequel il remportera aussi le prix du Forum International de Normandie et le sixième prix FNAPEC. Il effectue ensuite un troisième cycle au CNSM de Lyon dans la classe de Ivan Chiffoleau, tout en participant à des Master classes avec Steven Isserlis, Arto Noras,Toshiro Tsutsumi … et sera demi-finaliste aux concours Rostropovitch en 2001 et Bach de Leipzig en 2003. Son attrait pour les instruments historiques le conduira ensuite à suivre l’enseignement de Christophe Coin au CNSM de Paris. Deux personnalités l’ont particulièrement influencé, Janos Starker et Anner Bylsma avec lesquels il a eu la chance de travailler à de nombreuses reprises (CNSM de Paris, Villarceaux, Kronberg, Cité de la Musique…). En 2006 il est choisi par Lorin Maazel lors de la création de l’Orchestre du Palau de las Artes de Valencia (Espagne), premier chef invité Zubin Mehta, et y passe la saison lyrique 2006-2007.
Il se produit en tant que soliste dans des concertos allant de Vivaldi et C.P.E. Bach (sur violoncelle baroque) à Ligeti et Gulda, en passant par Haydn, Dvorak, Lalo, Tchaïkovski, Brahms, Saint-Saëns… avec différents orchestres (Philharmonique de Nice, Opéra de Rouen, Orchestre de Cannes-PACA…) Il interprète régulièrement du répertoire contemporain, ce qui lui permet de rencontrer et de travailler auprès de compositeurs tels que Maurice Ohana, Henri Dutilleux , Philippe Manoury, Bruno Montovani, Edith Canat de Chizy…En 2007 il a créé aux Rencontres Internationales de Beauvais (D)ébauches pour deux violoncelles et bande électroacoustique de Sébastien Béranger (avec son frère Frédéric Audibert), et une pièce pour violoncelle seul de Christophe Queval. Partenaire recherché de musique de chambre il a joué avec des artistes tels que Marielle Nordman, Ivry Gitlis, Alain Planès, Bruno Pasquier, Jean Moullière, Frédéric Aguessy, Michel Lethiec… Il est l invité en tant que chambriste par le festival de Prades , l’Orangerie de Sceaux, le Théâtre des Champs-Elysées, le Festival du Vexin, les Rencontres de violoncelles de Callian, le festival de Besançon…
Depuis 2008 il est membre de l’ensemble Calliopée avec lequel il a enregistré chez Alpha un double CD consacré à la musique de chambre Martinu (Choc de la musique), ainsi qu’un disque Durosoir sorti au printemps 2010. Sa discographie comprend aussi l’intégrale de la musique pour violoncelle et piano sur instruments d’époque de Gabriel Fauré (coup de cœur Piano magazine), et les sonates de Brahms et Phantasie Stucke de Schumann (5 diapasons) avec le pianiste Remy Cardinale. En quatuor avec orgue et deux violons un disque Haydn, Dvorak, Albinoni , Brixi.
« On ne peut qu’admirer la noblesse et la poésie de son interprétation » Diapason
« Florent Audibert est d’une justesse stylistique idéale » Le Nouvel Observateur

Premier prix du CNSM de Paris, et lauréat de dix concours internationaux, Frédéric Lagarde est cité dans la presse parmi les pianistes français les plus talentueux de sa génération. Musicien éclectique, musicologue, il aborde tous les répertoires, s’attachant notamment à mettre en lumière des auteurs méconnus et les créateurs de son temps. De nombreux compositeurs (dont Olivier Messiaen, à Londres, Paris, au Festival d’Avignon…) l’ont sollicité pour interpréter leurs œuvres.

Frédéric Lagarde s’est produit comme soliste ou chambriste sur de grandes scènes internationales : Théâtre des Champs-Elysées à Paris, New York (Carnegie Hall), Londres (Queen Elizabeth Hall), Vienne (Musikverein), Prague (Philharmonie), Tokyo (Opéra), Osaka, Pékin, Shanghaï, Rio, Sao Paulo, Montréal, Istanbul …

Il est également invité des festivals français : « Folle Journée » à Nantes et en Région, « Pablo Casals » à Prades, Radio-France à Montpellier, Besançon, Les Arcs, « Présences » à Radio-France, Orangerie de Sceaux, Rencontres Musicales de Haute-Provence…

Il partage la scène avec des partenaires musiciens tels que Jean-Guihen QueyrasMichel LethiecMarc CoppeyJuliette HurelDavid WalterLaurent Naouri… et également extra-musicaux (au sein de spectacles alliant musique et autres disciplines), tels que l’astrophysicien Hubert REEVES, le spationaute Jean-Loup CHRÉTIEN, le philosophe-méditant Fabrice MIDAL, la comédienne Marie-Christine BARRAULT, la journaliste Elodie FONDACCI…

Il est soliste de nombreuses formations – orchestres symphoniques de Lisbonne, Porto, Cannes, Orchestre National d’Ukraine, T U de Wien, Orchestre de la Garde Républicaine, « Classica » de Moscou… Ses enregistrements (Naxos, Mirare, Alpha…), consacrés à Dvorak, Beethoven, Vierne, Sibelius, Martinù… ont reçu plusieurs “Choc” du Monde de la Musique, « Diapasons d’Or » et « Événement » Télérama. 

Professeur de piano et musique de chambre à la Ville de Paris, au Pôle Supérieur de Musique de Dijon-Bourgogne Franche-Comté, et donnant des master-classes en France, République Tchèque (Conservatoire de Prague), Canada (Banff Center of the Arts), Malaisie (Kuala Lumpur), Brésil (Université de Sao Paulo)…, Frédéric Lagarde est membre du jury des concours internationaux: San Sebastian (Espagne), Euro-Asian (Kuala Lumpur), V Novak (République Tchèque), Rovere d’Oro (Italie)…

Il est directeur artistique de plusieurs festivals (« Classicaval » à Val d’Isère, « Musiques Ad Lib » en Finistère, « Les Harmonies » en Morbihan, Rencontres Musicales de Haute-Provence…). 

Professeur d’histoire de la musique et d’analyse musicale, il est également conférencier, notamment pour le compte de l’Université Populaire Averroès de Bondy (Seine-Saint-Denis), où depuis 2017 il assure un concert/conférence chaque mois. 

Alina Azario étudie depuis octobre 2006 dans la classe du grand pianiste Evgeni Koroliov, à la Hochschule für Musik de Hamburg. Après avoir obtenu son Diplôme (Prix) avec les meilleures récompenses en 2010, elle poursuit ses études en Konzertexamen (Perfectionnement). Depuis octobre 2010, elle y exerce aussi une activité d’enseignement parallèlement à ses études.
Alina Azario est née en 1983 à Piatra Neamt, en Roumanie. Elle débute le piano à l’âge de 6 ans et remporte très vite de nombreux prix dans des concours nationaux.
A 15 ans, elle a l’occasion de poursuivre ses études musicales à Paris, où elle enrichit ses connaissances auprès de nombreuses personnalités pianistiques. Lors de ces années passés en France, elle obtient les plus hautes distinctions des trois conservatoires qu’elle fréquente, dans les classes de Jacqueline Bourgès-Maunoury, Jasmina Kulaglich, et Christophe Bukudjian.
Elle a participé à plusieurs master-classes de pianistes renommés, tels que Elisabeth Leonskaya, Boris Berman, Jacques Rouvier, Théodore Paraschivesco, Géry Moutier, Laurent Cabasso, Tibor Szasz.
Depuis, elle se produit en France, Allemagne, Pays-Bas, Suisse, Danemark, Roumanie, Bulgarie, etc. Elle a collaboré avec des chefs d’orchestre tels que Ovidiu Balan, Dietmar Gräf, David Marcian, Janko Zsolt, Ovidiu Marinescu, Emily Freeman Brown et a joué à de nombreuses reprises avec l’Orchestre National Philharmonique de Bacau (Roumanie), l’Orchestre Symphonique du Philharmonique «Oltenia» de Craiova, Orchestre National Philharmonique de Sibiu, l’Orchestre National Philharmonique de Vidin (Bulgarie). Elle a effectué des enregistrements pour différentes radios: Deutschlandradio Kultur, NDR et la télévision roumaine.
En janvier 2011 elle enregistre avec Renaud Capuçon et avec le Berlin Score Orchestra la bande sonore du film « Poulet aux prunes » réalisé par Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud.
Elle est lauréate de plusieurs prix: 1er prix au Concours International de Piano de Citta di Stresa en Italie, prix spécial du jury au Concours International pour Piano et Orchestre de Cantu en Italie, et 1er prix au Concours de Piano de Lagny sur Marne en France.
Pendant ses années d’études, elle a obtenu des bourses octroyées par le Ministère de la Culture, la «Leistungstipendium», et depuis avril 2008 elle est boursière de la Fondation Oscar und Vera Ritter Stiftung.

Nadim Asfar est né à Beyrouth en 1976. Après ses études scolaires en Grèce et en France, il entame son expérience de l’image par des études de cinéma à l’Académie Libanaise des Beaux- Arts à Beyrouth, qui se précise en 2003 par des études en photographie à l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière à Paris.
Il se positionne ensuite dans une véritable investigation du langage des images et de son propre langage. Il tente d’exprimer et de s’approprier l’acte de photographier et celui d’enregistrer le réel, et, in extenso, son rapport à autrui et au monde. Nadim Asfar développe techniques et esthétiques qui interrogent la notion de point de vue et la présence de l’artiste dans son processus artistique.
En 2006 il participe avec Présence, à l’exposition « Regards des photographes arabes contemporains », organisée par l’Institut du Monde Arabe à Paris, qui sera par la suite montrée au GL Strand à Copenhague, et au Centro de arte contemporaneo, Séville.
Sa première œuvre vidéo Empreinte (1) en 2007 a été sélectionnée dans de nombreux festivals, dont le Festival Paris Cinéma, et le Festival Cinemaeast au Independent Film Center à New York (2007).
Avec l’exposition individuelle Immaterial World en 2008, commence son association avec la Galerie Tanit (Munich- Beyrouth), qui représente aujourd’hui l’artiste.
Récemment son projet Innenleben a été exposé dans le cadre d’une exposition collective au Beirut Art Center. En septembre 2009, ce projet a été sélectionné suite à un concours international des meilleurs portfolios de l’année, pour paraître dans le Foam Magazine « Talent 2009 », publication du Foam Museum of Photography.
Innenleben sera également exposé lors de Paris Photo en novembre 2009, à la Galerie Tanit.
Toujours en 2009, Everyday Madonna est la deuxième vidéo de Nadim Asfar, produite par l’association Ashkal Alwan, avec le support de la fondation Heinrich Böll.

Né à Rabat en 1986, Yanis Benabdallah est ténor et chef de choeur français d’origine marocaine et hongroise.
Dès l’âge de 4 ans, Yanis est initié au piano, chant et solfège (méthode kodaly), par sa mère chef de chœur. Il poursuit sa formation pianistique à Conservatoire de Rabat, au CNR de Boulogne Billancourt puis au Conservatoire de Pékin. En 2009, il obtient son Prix dans la classe de Virgine Pasdeloup au Conservatoire de Suresnes.
Parallèlement il entame des études de Musicologie à la Sorbonne et commence des études de direction de chœur avec Denis Rouger (2006-08), puis intègre la classe de Valérie Fayet au CNR de Nantes en cycle spécialisé.
Il est actuellement Chef de Chœur Assistant d’Amine Kouider aux Chœur et Orchestre Philharmonique International.
Yanis début la chant à l’âge de 12 ans au sein du Chœur d’Enfants de l’Opéra de Paris avec La Flûte Enchantée (tournée en Italie), et Tosca (à l’Opéra Comique).
Soliste dans plusieurs messes de Haydn et Mozart, il chante sous la direction de Michel Piquemal, Denis Rouger, Yves Parmentier, Jacques Grimbert, Pascal Verrot, Benjamin Levi. Il obtient en 2006 le Premier Prix de Chant dans le gala « Jeune talent français » à Monaco.
Yanis se produit avec Ange Pitou dans La Fille de Madame Angot à l’Opéra de Cherbourg,
interprète le rôle de Falsacappa dans Les Brigands d’Offenbach mis en scène par Didier Henry, celui de Cordiani dans Andrea del Sarto, chante un opéra contemporain de Daniel Lesur mis en scène par Philippe Godefroid, interprète le rôle Ben dans le Telephone de Menotti, et le rôle du Prince dans Cendrillon d’Isabelle Aboulker à Paris. Dernièrement, il a chanté des extraits de Boris Godounov avec le « chœur et orchestre philharmonique internationale » à L’UNESCO.
En récital ils se produit en Hongrie, Italie, Chine, Inde, Sri Lanka….
Il est actuellement membre de l’Opéra de Lille et poursuit ses études de chant avec Sophie Hervé au Conservatoire du XVIIIè arr. de Paris, en cycle spécialisé.

Chanteuse lyrique et comédienne, Céline Bognini multiplie les expériences artistiques depuis 1998.
En effet, entre 1998 et 2002, elle chante dans un répertoire Cabaret à Paris et en région parisienne. Elle assure les rôles de chanteuse, comédienne et compositeur au sein de la de la Troupe Musicomondos lors de centaines de représentations dans de multiples théâtres. Enfin, elle est auteur compositeur et chef de chœur pour l’enregistrement d’un Disque pour L’O.N.U., à l’occasion de l’Année Internationale de la Paix, suivi de Concerts, notamment à l’U.N.E.S.C.O. ; et d’un disque à l’occasion de la Biennale de l’environnement 2002
Entre 2003 et 2009, elle développe un autre registre en tant que comédienne/chanteuse dans la troupe Okeko et se produit notamment au Vingtième Théâtre, Printemps de Bourges, Théâtre de Ménilmontant, Résidence au Théâtre Jean Vilar de Champigny sur Marne,…
Elle se consacre au répertoire pour les enfants et est conteuse/chanteuse, de 2005 à 2008, dans le cadre du Festival de Littérature enfantine de Manosque (Spectacles : L’Histoire de Babar, de F. Poulenc ; Peer Gynt, de E . Grieg ; Pierre et le Loup, de S. Prokofiev ; L’Enfant et les Sortilèges, de M.Ravel).
Céline Bognini participe à de nombreuses saisons culturelles en région parisienne.

Le site de l’Ensemble Calliopée

Fondé en 1999, l’Ensemble Calliopée est un ensemble de musique de chambre à géométrie variable, proposant des concerts de 2 à 10 musiciens. Réunissant un quintette à cordes, un quintette à vent, une harpe, un piano ainsi que différents instruments invités : cymbalum, accordéon, clavecin moderne, chanteurs, percussions…l’Ensemble Calliopée offre la diversité et la palette sonore, la curiosité, la sensibilité et l’énergie de ses musiciens parmi les plus prometteurs de leur génération et privilégie rencontre et partage avec le public, favorisant l’éclosion de véritables concerts-spectacles. L’ensemble Calliopée est l’invité des festivals de Besançon, Sceaux, Présences… des théâtres de Lille, Angers, Belfort, Montélimar, Bourg-en-Bresse, Cherbourg, Vittel, St Raphaël… de la Philharmonie tchèque à Prague, du festival Amadeus à Genève, de l’Opéra Bastille ou Radio France à Paris, tout en proposant un cycle en partenariat avec la saison musicale des Invalides à Paris et une résidence en Seine et Marne. Dés sa création, l’Ensemble Calliopée s’est attaché à allier qualité artistique et esprit d’ouverture vers les répertoires, vers les différents publics , les projets inédits…Cette curiosité permet à l’Ensemble Calliopée de collaborer avec de nombreux compositeurs de tous les temps, des scientifiques, des réalisateurs, des musicologues…
Cette ouverture permet des partenariats avec différents types de structure en gardant toujours la volonté de les construire sur le long terme.
Les grands axes qui caractérisent la démarche artistique de l’ensemble sont un travail de recherche et de mise en valeur de nouveaux répertoires, mis en parallèle avec une programmation du grand répertoire. Ces partitions sont servies par une qualité d’interprétation liée à une grande exigence de chacun des musiciens de conjuguer ses qualités de soliste et de chambriste. L’ensemble est réuni autour d’une équipe stable d’artistes qui travaillent sans chef et dont le plaisir du partage est le dénominateur commun, et se reflète pleinement en concert. La haute qualité technique et musicale permet une programmation mixte grand répertoire/ contemporain de la musique de chambre du 18e au 21e siècle.
Les musiciens aiment tout autant créer cinq nouvelles oeuvres lors du concert des finalistes du Concours de composition Pablo Casals (partenaire depuis 2005) que proposer l’intégrale de la musique de chambre de Dvorak au Centre culturel tchèque à Paris. Depuis sa création, l’Ensemble Calliopée entretient des liens très étroits avec la musique d’Europe centrale en général et la musique tchèque en particulier. En résidence au Centre culturel tchèque à Paris depuis son origine, les musiciens de l’ensemble ont largement exploré les classiques Smetana, Dvorak, Suk, Martinu, Janacek, et fédèrent un partenariat entre compositeurs tchèques et français sous la forme d’une Bourse de résidence Sacem/Osa.
L’Ensemble Calliopée attache, également, une grande attention à l’action éducative. Ainsi depuis 2001, il est invité par la municipalité de St Cézaire (Alpes-Maritimes) à participer aux « Rencontres de Lauréats », moment unique de partage où des étudiants côtoient les musiciens de l’ensemble et un compositeur en résidence, en préparant des concerts en commun. Dans le même esprit, l’Ensemble Calliopée est en partenariat avec le Conservatoire de Paris (CRR), où des master-classes, des « Ateliers contemporains » animés par Corinne Schneider et des concerts ont lieu régulièrement en collaboration avec différentes classes de l’établissement (composition, histoire de la musique, musique de chambre…).
L’Ensemble Calliopée entame une résidence en Seine et Marne, au nouveau Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux qui ouvrira ses portes le 11/11/11 : faisant entrer l’univers sonore au sein d’une recherche sensible d’un pan de l’Histoire universelle, des programmes dans ce cadre sont présentés dès la Saison 2010-2011. Depuis juin 2010 est disponible un album Alpha consacré à la musique de chambre du compositeur Lucien Durosoir, fortement influencé par cette histoire bouleversante. L’Ensemble Calliopée a publié également chez Alpha l’album H136, consacré au compositeur tchèque Bohuslav Martinu ( 2CDs + DVD) .Ce double disque avec notamment la création du 1er Trio à cordes a été unanimement salué par la critique et a reçu un « Choc » du magazine Classica. L’Ensemble Calliopée reçoit le soutien de la Direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de-France – Ministère de la Culture et de la Communication, de la Sacem, de la Spedidam, de l’Adami et de musique nouvelle en liberté.

Professeur des universités, Marie-France Castarède est également membre de la Société Psychanalytique de Paris. Elle a appartenu aux chœurs de l’orchestre de Paris depuis leur création par Daniel Barenboïm en 1976 et jusqu’à la mort du chef de chœur, Arthur Oldham, en 2003. La pratique du chant amateur, individuel et choral, l’a conduite à des recherches universitaires sur des thèmes musicaux : la voix, la leçon de chant, l’enveloppe vocale maternelle, les interactions sonores mère-bébé, le chœur, l’illusion chorale, le rapport au chef de chœur et au chef d’orchestre, l’opéra etc.. Elle a publié plusieurs ouvrages : La voix et ses sortilèges, Le miroir sonore (Préface de Carlo-Maria Giulini) et Les vocalises de la passion, opéra et psychanalyse. Elle a organisé à Besançon un colloque interdisciplinaire qui a donné lieu à un livre Au commencement était la voix, Erès, 2005.
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Olivier Charlier, violon

Admis à l’âge de 10 ans au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris Olivier Charlier obtient, quatre ans plus tard, un premier prix de violon dans la classe de Jean Fournier, et décide alors de se perfectionner dans la classe de Pierre Doukan en violon et dans celle de Jean Hubeau en musique de chambre. C’est pendant cette période au CNSM qu’il fait la rencontre du grand compositeur Nadia Boulanger, qui, intéressée par ses dons précoces, le présentera à Yehudi Menuhin ainsi qu’à Henryk Szeryng. Ce dernier lui offrira en 1976 une bourse d’étude. Il remporte de nombreux concours internationaux : Munich à 17 ans, Montréal à 18 ans, le concours Sibelius d’Helsinki à 19 ans, les deux grands concours français Long‐Thibaud (2e grand prix) et Georges Enesco de la SACEM à 20 ans, Indianapolis (4e prix) à 21 ans, sans oublier bien sur le Young Concert Artists International Audition remporté à New York en 1989 alors âgé de 28 ans. Olivier Charlier est ainsi propulsé sur les plus grandes scènes musicales du monde entier, accompagné par des orchestres français et étrangers (Orchestre national de France, Orchestre de Paris, Orchestre de la Tonhalle de Zurich, Orchestre de la Résidence de La Haye, Orchestre philharmonique de Londres, Orchestre philharmonique de la BBC, Hallé Orchestra, Orchestre symphonique de Berlin, Orchestres des Radios de Hambourg et de Sarrebruck, Orchestre de chambre de Württemberg, Orchestre philharmonique de Monte‐Carlo, Philharmonie de Prague, Philharmonie de Zagreb, Orchestre symphonique de Montréal, Yomiuri Nippon Symphony Orchestra, Orchestre symphonique de Sidney). Ses concerts, le transportent des Amériques (États‐Unis, Canada, Mexique) jusqu’en Asie (Japon, Thaïlande, Malaisie), en passant par l’Afrique (Afrique du Sud), tout en s’attardant tout particulièrement en Europe (France, Angleterre, Allemagne, Pays‐Bas, Suisse, Italie, …). Depuis 1981, Olivier Charlier enseigne aux jeunes élèves du CNSM de Paris. Il y a débuté comme assistant de la classe de violon de Pierre Doukan ainsi qu’assistant de la classe de musique de chambre de Jean Hubeau, et fut nommé professeur de violon en 1992. Il est assisté par Johanna Matkowska. Il joue un violon de Carlo Bergonzi de 1747.
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Anna Destraël

Anna Destraël est une mezzo‐colorature tourangelle. Elle a débuté le chant avec Thérèse Stenne. Malgré son jeune âge, ses qualités lui ont déjà valu les encouragements de personnalités telles que Robert Massard (dont elle suit les master‐classes depuis 2002), José Van Dam et Eve Ruggieri. Elle poursuit actuellement ses études à Paris auprès de Mireille Alcantara. On a déjà pu entendre Anna Destraël dans de nombreux récitals accompagnés par Maciej Pikulski ou Sylvie Lechevalier : « Le Tour du Monde en 80 minutes » (présenté par André Pereigne à Juan‐les‐Pins en 2005), « L’Art des Mots, L’Art d’aimer » (Biarritz, 2005). Plusieurs festivals lui ont donné l’ont invité pour des concerts de promotion de jeunes talents : Les journées romantiques du Vaisseau Fantôme (Paris, 2002 et 2005), Les Automnales du Château de Compiègne (2006) et De Varsovie à Paris (L’Académie Polonaise des sciences, 2007). Les promenades musicales du Pays d’Auge l’ont accueilli pour « La Mer est un Poème » (Honfleur, 2006), « Les enclos de Curiosités » (hommage à Rossini à Deauville en 2006), « La vraie vie des Divas » (Orbec, 2007) et «Les Betsyades » (hommage à Betsy Jolas à Clarbec en 2007). A l’opéra, Anna Destraël a tenu les rôles‐titres de « La Belle Hélène » de Offenbach, de « Carmen » de Bizet pour le festival Gloriana (2005 et 2007) et le rôle de Bianca dans « Le viol de Lucrèce » de Britten à l’Opéra de Tours (2007). Elle a également chante dans des oeuvres sacrées telles que le « Magnificat » de Karl Philipp Emmanuel Bach et le « Requiem » de Mozart, à Paris. Plus récemment, elle a interprété le rôle de l’ « Amour Terrestre » dans « Maddalena ai piedi di Cristo » de Caldara au festival Jean de la Fontaine de Château‐Thierry, aux Heures musicales de l’abbaye de Lessay et aux Promenades musicales du Pays d’Auge. A l’étranger, Anna Destraël a été invitée pour des récitals en Suisse, Les sommets du Classique (Crans‐Montana, 2005 et 2006) et en Inde, National Center of Performing Arts (Bombay, 2007). Eve Ruggiéri l’engage régulièrement à Paris et à Saint‐Tropez pour des concerts, et les festivals qu’elle préside ‐ Les Journées Lyriques de Chartres (« La vraie vie des divas ») ou le Festival de Lacoste (« Mozart libertin »). En février 2007, Eve Ruggiéri l’a présenté dans l’émission Musiques au coeur sur France 2, consacrée aux « Coups de coeurs ». D’autre part, Gaëlle le Gallic lui a consacré 1h d’antenne lors de son émission Dans la cour des grands sur France Musique, en mai 2007. Parmi ses projets, citons « La Paukenmesse » de Haydn, « La Flûte enchantée » de Mozart et « Carmen » de Bizet.
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Trio Dumky

Le site du Trio Dumky

« DUMKY » fait référence à l’œuvre d’Antonín Dvorák. La « dumka » (« dumky » étant son pluriel) désigne un sentiment, un état psychologique entre le spleen et la rêverie propre aux slaves dont Antonín Dvorák s’inspire pour composer son célèbre trio « Dumky ». Les trois artistes du DUMKY TRIO trouvent dans l’oeuvre de ce compositeur une puissante et évidente inspiration, fondatrice de leur cohésion et de leur identité. Né en 1988 à l’occasion du festival des « Rencontres Musicales de Haute-Provence », le DUMKY TRIO est aujourd’hui l’un des ensembles français les plus primés avec 6 prix internationaux. Deux de ses membres en étant les fondateurs et directeurs artistiques, il se produit depuis chaque année dans ce festival. Plusieurs séjours au « Banff Centre for the Arts » (Canada) avec le soutien de l’AFAA ont permis au DUMKY TRIO de s’épanouir auprès de grands musiciens tels que Menahem Pressler (Beaux-Arts Trio), Lorand Fenives, Tibor Varga, Thomas Rolston, Maurice Bourgue, Yanos Starker ou Zoltan Zekely. Il y est depuis invité pour transmettre à son tour son expérience et sa passion de la musique. Lauréat de la Fondation Menuhin, l’ensemble a participé à de nombreux festivals tels que le Festival international de Besançon, Festival de l’Orangerie de Sceaux, Auditorium du Louvre, Midi du Châtelet, « Musique et Espérance » en Périgord, « Musicades » de Lyon, les « Amis de Mozart » à Paris, association Chopin, Société de musique de chambre de Lyon… , ainsi qu’à l’étranger en Italie, Sicile, Autriche, Portugal, Espagne, Allemagne, République Tchèque, Canada, Etats-Unis. La discographie originale du DUMKY TRIO comprend — outre Brahms, Schumann et un CD de compositeurs canadiens élu meilleur disque classique de l’année par le Globe and Mail en 1998 (« Among Friends », édité et distribué par le Canadian Music Centre CMC-CD 6098) — une intégrale des trios de Bohuslav Martinu plébiscitée par la presse spécialisée (GRCD 4). L’univers de la musique Tchèque est donc familier aux trois musiciens, à qui l’idée de réaliser une intégrale des trios de Antonín Dvorák (sortie nationale en janvier 2006) s’est imposée comme une évidence dictée à la fois par la continuité d’une démarche musicale et un amour profond de l’âme slave que l’on retrouve tant chez Dvorák que chez Martinu ou Janácek. Leur dernier CD consacré à l’intégrale des trios de Dvorak vient d’obtenir 5 Diapasons. Ces deux dernières années, afin de mieux encore s’immerger dans cet univers, ils ont séjourné plusieurs fois en République Tchèque pour collaborer entre autre avec le violoniste et chef d’orchestre František Pospisil, membre du Trio Forster, qui réalisa dans les années 1960 des enregistrements des trios de Dvorák et Martinu. Le DUMKY TRIO, dans son ensemble ou partiellement, est maintenant très présent dans la vie musicale tchèque, donnant concerts ou Master-class à Prague et dans de nombreuses autres villes. Encore tout récemment, en février 2006, il a donné un concert mémorable au Rudolfinum, dans la somptueuse salle Dvorak de la Philharmonie tchèque, devant plus de 1000 personnes.
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Christophe Giovaninetti

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Après des études musicales en France, en Roumanie et en Allemagne (notamment avec les membres du Quatuor Amadeus), il fonde en 1984 le Quatuor Ysaÿe, puis en 1995 le Quatuor Elysée. Avec ces formations, il a réalisé de nombreux enregistrements pour les labels Decca, Harmondia Mundi, Philips, Zig-Zag Territoires, et de nombreuses tournées dans le monde, avec des concerts sur des scènes prestigieuses telles que le Carnegie Hall de New York, le Musikverein de Vienne, le Mozarteum de Salzbourg, le Wigmore Hall et le Queen Elisabeth Hall de Londres, la salle du Concertgebouw d’Amsterdam, le Théâtre des Champs-Élysées de Paris, etc.

Ses partenaires en musique de chambre ont été Augustin Dumay, Shlomo Mintz, Maria Joao Pires, Jean-Philippe Collard, Frank Braley, Michel Portal… Parallèlement à sa vie de concertiste, il a également un poste de professeur au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris.

Yehudi Menuhin a dit de lui : « Je dois à cet ange musicien l’une des plus pures émotions musicales de ma vie. »

Yehudi Menuhin

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Armelle Hiance

Le site d’Armelle

Née en 1978, photographe, Armelle Hiance, diplômée de l’école des Beaux Arts de Nantes et de l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière (Paris) élabore un travail artistique sur la représentation de l’espace au travers de la définition du paysage. L’espace construit par Armelle met en abîme le réel pour évoquer la spiritualité d’un moment. La musique tiens une place très particulière dans son travail plastique. Elle vient insuffler un souffle d’immatériel à la photographie pour atteindre plus précisément la frontière entre le monde réel et notre imaginaire. Elle débute sa carrière au Conservatoire du Littoral et écrit un mémoire sur l’aménagement des chemins côtiers bretons (Morbihan). Elle a réalisé plusieurs travaux notamment sur la reconstruction de l’Albanie depuis la fin de la dictature et sur la puissance onirique d’Istanbul. Elle a également conçu une exposition multimédia (Ploërmel au fil du temps) avec images d’archives, photographies et projections observant les changements des espaces de vie de la ville et de son influence sur l’habitant. Par ailleurs, elle a participé à plusieurs manifestations (Harmonies en Images) liant musique et photographie, en réalisant des scénographies de concerts et en multipliant les expériences avec des musiciens. Elle expose dans des lieux prestigieux comme la Maison Européenne de la Photographie ou l’espace Confluence (Paris), l’Akademie de musique Janacek (Brno, Tchèquie). Elle a travaillé avec des photographes et des musiciens de grande renommée (John Davies, Max Pam et Carlos Barentes. les pianistes Radoslav Kvapil et Frédéric Lagarde). Elle a également reçu plusieurs récompenses (2ème prix Adobe, Sélection coup de cœur photographie.com, Bourse de la Mairie de Paris).
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Ya-Hsuan Huang

Diplômée de l’Université de Yale et de la New School à New York City, Ya-Hsuan Huang multiplie les expériences visuelles en tant que designer, vidéaste et réalisatrice. Après s’être forgé une expérience à la Goldman Sachs, l’Université de Columbia et la fondation Blue Ridge à New York, elle assure la direction des relations publiques pour le Brooklyn Underground Film Festival en 2003. Cette même année, elle co-réalise le documentaire « Out of Status » sur le système de régularisation appliqué aux Arabes et Musulmans aux Etats Unis. Son documentaire « Through the Nedev » sur les femmes soudanaises réfugiées en Israël est diffusé dans un grand nombre de festivals aux Etats-Unis. Ses vidéos et scénographies pour danse contemporaine ont été présentées à la Galerie d’Art de l’Université de Yale, à la Galerie d’Art Chelsea Studio et au musée d’Arts Rubin à New York.
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Pascal Jourdan

Pascal Jourdan étudie le piano au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon avec Eric Heidsieck (DNESM mention très bien), puis Roger Muraro (Cycle de perfectionnement), l’analyse et l’écriture avec Gérard Gastinel, et la musique de chambre avec Michèle Scharapan. Il est également diplômé de l’Accademia Nazionale Santa Cecilia de Rome (classe de Sergio Perticaroli). Parallèlement, de 1990 à 1997, il a bénéficié de l’enseignement d’Eliane Richepin. Il est membre du Trio Novalis (avec Florent Kowalski, violon et Luc Dedreuil, violoncelle). Passionné aussi par le répertoire du lied et de la mélodie, il se produit régulièrement avec la mezzo-soprano Stéphanie d’Oustrac. Lauréat de plusieurs concours internationaux (Vittorio Gui à Florence, Trio di Trieste, Musique de chambre de Lyon, Ragusa-IBLA, Fondation Cziffra) et du mécénat Société Générale, il a enregistré pour la radio et la télévision (France Musiques, Radio classique, Radio Suisse-Romande, RTBF, Radio Canada, ABC, Mezzo, RAI, RFO, France2, France3…)
Il se produit dans une vingtaine de pays, en Europe, en Asie et en Australie, dans des salles prestigieuses à Lyon, Paris, Genève, Bruges, Bucarest, Florence, Oxford, Rome, Salzburg, Bangkok, Sendai, Tokyo, Fukuoka, Melbourne, Sydney, et dans des festivals (La Roque d’Anthéron, Rencontres Musicales de Haute-Provence, Musicades, Montpellier-Radio France, Bangkok Ibicus concert Series…). Titulaire du Certificat d’Aptitude, il est professeur de piano au Conservatoire National de Région de Montpellier depuis 1999. Il est régulièrement invité comme membre du jury, au CNSM et dans des concours internationaux, en France et à l’étranger

Karine Lethiec

La page de Karine Lethiec

Direction artistique et altiste
Directrice artistique et altiste de l’Ensemble Calliopée, Karine Lethiec est aujourd’hui reconnue pour son exigence et son ouverture artistique. Son travail depuis quinze ans lui donne une place de choix parmi les musiciens recherchés, notamment pour son expertise en matière de musique de chambre. Artiste éclectique, cultivée, sensible et passionnée, elle trace avec brio le chemin de l’Ensemble Calliopée, à l’égal des meilleurs phalanges européennes, en proposant une programmation et des choix basés sur la curiosité, la découverte et le besoin de donner un sens profond à l’acte intime de la création.
Diplômée des Conservatoires supérieures européens de Lyon, Paris, Genève et Berne, elle est lauréate du Concours International Tertis et de la Fondation Banque Populaire Natexis. Elle est titulaire du CA et enseigne en région parisienne, et l’été à l’Académie de Courchevel. Elle aime la transmission sous toutes ses formes et participe à de nombreuses émissions radiophoniques, soutient le projet pédagogique « La main à la pâte » du Prix Nobel feu Georges Charpak, est membre du Mouvement Janacek en France, jury de nombreux concours et directrice artistique de différents festivals (dont le Festival Amadeus à Genève de 2004 à 2009). Avec son ami l’astrophysicien Hubert Reeves, elle conçoit de nombreux spectacles associant Cosmos et Musique , notamment « Mozart et les étoiles ».
Elle a dernièrement enregistré l’intégrale des quintettes de Mozart (Dynamic). Très intéressée également par les nouveaux répertoires, Karine Lethiec défend la création musicale en commandant, programmant et interprétant des œuvres nouvelles (plus d’une trentaine de créations). Elle a enregistré le concerto de Krystof Maratka « Astrophonia » avec l’Orchestre philharmonique de Radio-France et le Talich Chamber Orchestra (Arion). Son jeu généreux, ses connaissances et l’étendue du répertoire pour toutes les formations écrites avec son instrument en font une artiste très sollicitée. Ses voyages musicaux l’ont menée au Concertgebouw d’Amsterdam, au Festival de Ravinia à Chicago, au Théâtre des Champs-Elysées, aux Philharmonies de Irkousk et Vladivostok, au Festival d’Athènes au temple d’Hérode Atticus, Festival de Tempelhof de Berlin, à l’Ermitage de St Petersburg, à la Philharmonie tchèque à Prague.

Maud Lovett

 

Maud Lovett

La page de Maud Lovett

Née en 1978, Maud Lovett débute à 4 ans le violon aux côtés de Gilberte Desruaulx-Candela puis Jean-Walter Audoli et Michèle Auclair. A 13 ans, elle est admise, à l’unanimité, au CNSM de Paris, où elle étudiera avec Marie-Claude Theuveny, Alain Meunier, Michel Michalakakos et Bruno Pasquier. Après ces études, elle se perfectionnera auprès d’Isaac Stern et Miriam Solovieff (elle-même disciple de Flesh, Kathleen Parlow, Persinger, Robert Pollack, Max Rostal) bénéficiant ainsi de l’héritage d’Eugène Ysaÿe, et suivra par ailleurs les master classes de Yo-Yo Ma et Jian Wang.
Lauréate de plusieurs concours internationaux avec la harpiste Sandrine Chatron et sa sœur Anne, pianiste, Maud Lovett mène une carrière à la croisée de plusieurs chemins : musique de chambre (elle est soliste invitée de l’ensemble Calliopée, membre de l’ensemble Contraste), musique contemporaine (avec l’ensemble TM+), musique orientale (avec le chanteur Libanais Marcel Khalifé) et une carrière de soliste. En 2010 elle crée avec Jean-Luc Ayroles (piano), Bruno Maurice (accordéon) et Jérôme Voisin (clarinette) l’ensemble Pasarela (www.ensemblepasarela.com).
Elle est invitée à se produire dans les plus prestigieux festivals internationaux en Europe (Schleswig-Holstein, « Présences » de Radio France, Aix en Provence, Festival d’automne de Madrid, Festival de l’Orangerie de Sceaux, Festival de Prades, Auvers sur Oise, etc…) et dans le monde entier (Iran, USA, Bahreïn, Brésil…). La plupart de ces concerts étant diffusés sur Arte, la BBC, Mezzo, la Raï, Radio France…
Soucieuse de faire partager au plus grand nombre sa passion pour la musique et l’art en général, elle crée en 2005 l’association  » A l’Unisson  » qui a pour but de démocratiser la musique dite « classique » lors de concerts et actions dans les écoles, collèges et lycées en France et à l’étranger (en partenariat avec des ONG locales).
En 2009, Maud Lovett a reçu pour son premier enregistrement (chez Alpha avec l’ensemble Calliopée, musique de chambre de Martinu) le Choc Classica, et a représenté la France à Sao Paulo lors de l’année de la France au Brésil. Lors de la saison 2010-2011, elle créera le concerto pour violon et orchestre du compositeur Marcel Khalifé avec l’orchestre philharmonique du Qatar (29 janvier 2011).
Maud Lovett enseigne au Conservatoire à Rayonnement Régional d’Amiens.
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Loic Mallié

Né en 1947 à la Baule, Loïc Mallié, très jeune, décide de mener de front des études générales et des études musicales .C’est ainsi qu’après avoir obtenu une licence en droit en 1971, il prépare, avec l’aide de Catherine Ortmans, Pierre Froment et Daniel Roth, son entrée au Conservatoire de Paris où il suit les classes de Jeannine Rueff, Rolande Falcinelli, Henriette Puig-Roget, Marcel Bitsch, Bernard de Crépy et Olivier Messiaen Il quitte cet établissement muni de cinq premiers prix. Par ailleurs, il se présente à plusieurs concours internationaux d’improvisation, et remporte trois premiers grands prix, dont celui de Chartres en 1982. Entre-temps, Loïc Mallié a obtenu, en 1977, le C.A. d’écriture. En 1980 il est nommé professeur au C.N.S.M. de Lyon, en 1995 au C.N.S.M. de Paris, et en 2001 à « Musikene » , (Pays Basque Espagnol), lesquels il enseigne l’écriture et l’improvisation.
Loïc Mallié a été de 1975 à 1989, co-titulaire, du Grand orgue Cavaillé-Coll de Saint Pierre de Neuilly, avant d’être nommé titulaire du grand orgue de Saint Pothin.
Il est régulièrement invité à travers le monde pour des concerts, des jurys et des master classes. Il a également une importante activité de compositeur (œuvres pour piano, orgue, musique de chambre chœurs et orchestre).
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Sophie Mayer

Sophie Mayer est une jeune femme de 28 ans qui a le goût de l’écriture, du jeu, du chant. Après des débuts sur scène en qualité de comédienne dans des mises en scène de Bernard Murat (Lunes de miel, Amitiés Sincères), et de Francis Véber (L’emmerdeur), elle se lance dans l’interprétation de ses propres textes. C’est Michel Leeb qui lui donne l’impulsion en lui proposant un duo (« Retiens la nuit » d’Aznavour) sur son dernier album. Elle travaille ses compositions musicales avec le guitariste Julien Chalmet (« Uncle Bend ») et s’entoure de jeunes musiciens talentueux tels que Laurian Daire, Nicols Wurtz et Julien Audigier pour enregistrer sa première maquette au Studion des Flots bleus chez Gilles Papiri. Sa musique et ses textes se veulent graves et doux à la fois, teintés de fantaisie, de poésie, d’érotisme aussi, tissés de rêveries et de fantasmes pour adoucir une plus âpre réalité. De la chanson française un peu rock, un peu folk et blues par moments peut-être… Un généreux mélange des genres qui ne demande qu’à éclore, à s’épanouir sur scène. Sophie Mayer fait cette année ses premiers pas en tant que chanteuse.
Sophie Mayer sur myspace

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Paul-Hubert des Mesnards

Mozart raconté et joué par Paul-Hubert des Mesnards Ingénieur de formation, et conseil en entreprise dans les domaines de la créativité et de l’innovation, Paul-Hubert des Mesnards a toujours pratiqué le piano, en amateur bien sûr, mais an sens premier du terme : celui qui aime et qui fait partager sa passion. Il n’a jamais cessé de se perfectionner, en particulier auprès du Maître polonais Marian Rybicki et de la pianiste géorgienne Ethery Djakéli. Grand amateur de musique de chambre, en duo piano-violoncelle et à deux pianos, il présente actuellement des concerts – conférences autour de la vie et de l’œuvre de piano d’un compositeur : notamment Liszt et Mozart…
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Laurent Naouri

Ancien élève de l’Ecole Centrale, Laurent Naouri décide de se consacrer à l’Art Lyrique en 1986 et complète sa formation à la Guildhall School of Musica Drama de Londres.
Très rapidement, il est engagé en France ainsi qu’à l’étranger dans un répertoire allant de Monteverdi aux compositeurs contemporains, entre autres dans des rôles tels que Christophe Colomb, Guglielmo, Onéguine, Tarquinus (Le Viol de Lucrèce), Roland de Lully, Bottom (Le Songe d’une Nuit d’Eté) sous la direction de chefs tels que Maurizio Benini, William Christie, René Jacobs, Marc Minkowski, Kent Nagano.
Laurent Naouri fait ses débuts à l’Opéra Garnier dans le rôle de Thésée (Hippolyte et Aricie). Il reprend ensuite Eugène Onéguine à l’Opéra de Nancy, interprète à l’Opéra Bastille les rôles du Comte Des Grieux dans Manon de Massenet et de Figaro dans Les Noces de Figaro, et, à l’Opéra de Lyon et au Grand Théâtre de Genève, le rôle de Jupiter dans Orphée aux Enfers d’Offenbach sous la direction de Marc Minkowski. Il interprète alors pour la première fois le rôle de Don Giovanni à l’Opéra de Metz, rôle repris ensuite à l’Opéra Royal de Wallonie, et participe à plusieurs productions à l’Opéra de Paris : L’Enfant et les Sortilèges de Ravel, Platée, Alcina et Les Indes Galantes.
Laurent Naouri se produit régulièrement en récital et en concert.
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Aimo Pagin

Né en 1983 , dans une famille de musiciens , Aimo Pagin décide de se consacrer dès son plus jeune âge , à sa passion. Il commence le piano à l’âge de 7ans au conservatoire de Strasbourg avec F. Claustre puis au conservatoire de Colmar dans la classe de RENA SHERESHEVSKAYA ,où il termine son cursus en obtenant les diplômes à l’unanimité de piano, solfège et musique de chambre . Il poursuit ensuite sa formation au conservatoire supérieur de musique de Genève, avec DOMINIQUE MERLET et la termine avec la plus haute distinction , le Dilplôme de Soliste. Avide d’apprendre et de développer son expérience, il décide de partir aux Etats-unis , au Peabody Institute de Baltimore , et est accepté en 2004 dans la classe renommée du grand pianiste et pédagogue LEON FLEISHER , dont l’influence aura été immense . Au-delà de son éducation auprès de ses maîtres, Aimo Pagin s’inspire de précieux conseils de musiciens de renom, tels RADU LUPU , MURRAY PERAHIA , DAVID ZINMAN , ANDRAS SCHIFF , PASCAL ROGE , DIMITRI BASHKIROV , MARIA TIPO , VLADIMIR FELTSMAN , NOEL LEE , JOAQUIN SORIANO , JOHN CORIGLIANO … L’expression de son jeu , sa sensibilité profonde et la force communicative de son toucher a suscité un grand intérêt dans le monde musical d’aujourd’hui . Des nombreux prix nationaux et internationaux se succèdent alors , il remporte à l’âge de 14 ans le premier prix au Concours Musical de France. Lauréat du Concours International de Piano GEORGE ENESCU (Septembre 2005) et du concours VALSESIA MUSICA (Milan, 2006) , il a gagné plus récemment le premier prix au Concours International PREMIO PIANISTICO PAUSILYPON à Naples en Italie, avec un succès retentissant, et fait ses premières apparitions à la télévision italienne (RAI) . Dès lors , sa carrière devient internationale , Aimo Pagin se produit sur les grandes scènes du monde : Concertgebouw Amsterdam, Carnegie Hall New York, Beethoven Haus Bonn, Societa dei Concerti Milano, et participe à des festivals de renom, tels le festival Chopin à Paris , le festival de Radio-France Montpellier dans le cadre des jeunes solistes, au festival St Jean Cap Ferrat, aux Nuits Musicales en Armagnac , aux International Music Sessions (Pays-Bas) , aux Musicales du Lubéron (auprès de la célèbre violoncelliste Sonia Wieder- Atherthon) . Il a aussi une important expérience en musique de chambre et donne des récitals avec sa mère, la grande violoniste SILVIA MARCOVICI sur les grandes scènes internationales , ainsi que des concertos , tels le double de Mendelssohn avec la Philharmonie de Bucarest.
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Sarah Pagin

Sarah Pagin est née dans une famille de musiciens. Elle commence des études de violon avec sa mère, la célèbre violoniste Silvia Marcovici, et décide, à 17 ans, de se consacrer pleinement au chant lyrique en suivant les leçons de Magdalena Cononovici puis, au Conservatoire Supérieur de Musique de Genève, dans la classe de Maria Diaconu . Elle poursuit ensuite ses études auprès de la soprano Alida Ferrarini à Vérone, et perfectionne aujourd’hui sa technique vocale avec Magalie Schwartz à Genève. Parallèlement, elle obtient une licence en langues et en Inter Culturalité à l’Université de Strasbourg. Elle suit de nombreuses Masterclasses et reçoit de précieux conseils de grandes personnalités musicales, telles que Katia Riciarelli , Klessie Kelly , et Angela Ghiorghiu. Elle a chanté le rôle de Maria dans « West Side Story » de Bernstein, au Palais de la Musique et des Congrès de Strasbourg, le rôle de la Modiste dans « Le Chapeau de Paille » de Nino Rota à Genève, ou encore récemment Barbarine dans « Les Noces de Figaro » de Mozart à l’Opéra de Timisoara, en Roumanie. Amoureuse du répertoire des lieder et des mélodies, elle chante entre autre en Norvège, dans la Maison de Grieg , au festival de St-Jean-Cap-Ferrat , ainsi que pour l’inauguration de l’entrée de la Roumanie dans l’Union Européenne, à Vienne, en novembre 2006.
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Roman Patocka

Le violoniste Roman Patocka (1981) a commencé l’apprentissage du violon à l’âge de cinq ans. A partir de 1995, il a étudié au Conservatoire de Prague dans la classe du professeur Dagmar Zarubova et de 1999 à 2004 à l’Académie des Arts de Prague avec Ivan Straus. Il a ensuite poursuivi ses études à la Musikhochschule de Lübeck avec le professeur Shmuel Ashkenasi, puis en 2005 au Conservatoire de Berlin dans la classe de Stéphane Picard.
Depuis l’an 2000, il est devenu un soliste très respecté. Depuis 2000 a également participé à plusieurs concours et remporté de nombreux prix.
Il a pris part à plusieurs masterclasses et a gagné des bourses d’études internationales : Académie Internationale de Musique de Montpellier (Ruggiero Ricci, Stephen Shipps) : Semmering, Autriche (Hagai Shaham, Erich Gruenberg, Eszter Haffner, Andreas Kiss), Académie Franco-Tchèque de Musique de Telc, République Tchèque (Jan Talich). En 2001, il a participé à la masterclasse de Keiko Wataya à la Faculté de Musique d’Utrecht, Hollande.
Il s’est ensuite produit comme soliste pour des orchestres tchèques mais aussi étrangers- sous la direction de Sir Charles Mackerras, il a joué « Soul Wandering » de Leos Janacek au Festival Janacek de Brno avec l’Orchestre Philharmonique National de Brno. Au Festival Mlada Praha, il a joué avec l’Orchestre Philharmonique Junior de Tokyo (chef Hideaki Hirai).Au Japon, Roman s’est produit avec l’Orchestre Philharmonique Nagoya sous la direction de Yoko Matsuo, au Concert du Nouvel An pour NHK Télévision. En juin 2005, il a débuté à Londres au St John’s Smith Square avec l’Orchestre Symphonique des Jeunes Musiciens, sous la baguette de James Blair.
Roman a reçu un grand succès sous la direction de célèbres chefs d’orchestre tchèques : Jiri Belohlavek, Vladimir Valek, Radomil Eliska, Jakub Hrusa, Leos Svarovsky, Vojtech Spurny, Stanislas Vavrinek et il s’est produit avec des orchestres faisant autorité, comme le Philharmonique de Prague et l’Orchestre Symphonique de la Radio de Prague. Avec l’Orchestre de Chambre Berg dirigé par Peter Vrabel, il a joué la Première Mondiale de la Rhapsodie Bohémienne de Bohuslav Martinu, arrangée par Jiri Teml.
Roman mène sa carrière de soliste et d’interprète de musique de chambre à Prague et dans d’autres villes tchèques et il a déjà fait des tournées en Europe et aux Etats-Unis. Il a représenté son pays à la Semaine de Musique Tchèque à l’EXPO 2005 à Aïchi, Japon. Il a aussi pris part à des festivals comme les Heures Romantiques au Pays de Monthodon, Shafran-Festival au Château de Waldenbourg, Festival de Musique de Prague et Festival Chopin à Marianské Lazné. Il a enregistré pour la Radio Tchèque, BBC Radio 3, ORF, Radio 4 Pays-Bas et Radio Roumanie. Lors de certains de ses récitals, Roman est accompagné par la pianiste Silvie Jezkova, professeur au Conservatoire de Prague. Ils ont participé ensemble à de prestigieux événements musicaux, comme Avro Klassiek à Concertgebow, le Cycle de la Société Tchèque pour la Musique de Chambre (partie de l’Orchestre Philharmonique Tchèque), Lange Nacht du Festival de Musique de Vienne, les Journées Romantiques du Vaisseau Fantôme à Paris, et bien d’autres.En tant que détenteur du Prix de la Quatorzième Compétition du Fonds Instrumental de Musique Allemande (Deutsche Musikinstrumentenfonds) de la Fondation Deutsche Stiftung Musikleben,Roman Patocka joue depuis février 2006 sur un violon d’Enrico Ceruti (Crémone 1845), violon qui a été confié par Bleu de Brazil, Fazenda IParanga.
Le site de Roman Patocka.com
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Pianiste soliste, musicien de chambre et accompagnateur de grandes voix, Maciej Pikulski s’est déjà produit en concert dans près de 30 pays sur 5 continents….
Né en Pologne en 1969, il fait ses études musicales au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris où il obtient un Premier Prix de piano à l’unanimité, un Premier Prix de musique de chambre et un Prix de l’accompagnement vocal.
Il y est ensuite admis en Cycle de Perfectionnement et devient lauréat de fondation France Télécom « Découvertes ».
Après avoir travaillé le piano avec Dominique Merlet, Maciej Pikulski se perfectionne ensuite auprès du pianiste anglais Clive Britton (lui-même élève de Claudio Arrau) et complétera sa formation auprès d’autres grands maîtres du piano – Dimitri Bashkirov, Jacques Rouvier, Pascal Devoyon, Marie-Françoise Bucquet, Georges Pludermacher.
En qualité de soliste Maciej Pikulski a enregistré trois disques: le 2e Concerto pour piano et orchestre de Rachmaninov complété par des oeuvres de Liszt et Chopin, les Lieder de Schubert transcrits au piano par Liszt puis récemment « L’Hommage à Rachmaninov » (sortie septembre 2009).
Il est invité en tant que soliste en Russie, Inde, Sri Lanka, Suisse, Belgique, Italie, Espagne, Pologne, ainsi qu’à La Réunion. En France il se produit entre autres à Radio France, au Festival Chopin de Bagatelle, Festival Liszt en Provence, Festival Nancyphonies en Lorraine, au Musée d’Orsay, au Midem, aux Invalides… Il joue aussi avec divers orchestres : français, britanniques, belges, roumains, et italiens.
En 2004 il a été choisi par la Société Chopin à Paris pour jouer le rôle – titre dans le Concert – Reconstitution du Dernier Concert de Chopin à Paris, et en 2006 il a été invité pour participer à l’intégrale des sonates de Mozart au Festival de San Sebastian en Espagne.
Egalement musicien de chambre, Maciej Pikulski enregistre 2 disques avec le violoncelliste Raphaël Chrétien et se produit avec les plus éminents artistes français: Gérard Caussé, Alain Marion, Régis Pasquier, Laurent Korcia, Marc Coppey, Dominique de Williencourt, Henry Demarquette, Olivier Charlier, Philippe Aiche, Le Quatuor Arpeggione, Marie – Christine Barrault, François Castang…
Il s’est également produit aux côtés de Felicity Lott, Renée Fleming, Maria Bayo, Patricia Petibon, Mireille Delunsch, Laurent Naouri, Udo Reinemann, Annick Massis, Edith Wiens, et tout particulièrement José van Dam dont il est depuis 1993 le pianiste exclusif et qu’il accompagne pour trois enregistrements discographiques ainsi qu’en récital dans les plus grandes salles du monde – Carnegie Hall à New York, La Scala de Milan, Théâtre Royal de la Monnaie à Bruxelles, Concertgebouw d’Amsterdam, Teatro Colon à Buenos Aires, Théâtre des Champs Elysées à Paris…
La presse, quand à elle, a également remarqué ses qualités en soulignant chez lui sa « sensibilité poétique » (Globe and Mail, Toronto), sa « technique puissante » (New York Times) et en le qualifiant « magnifique musicien » (Le Figaro) et de « grand pianiste » (Corriere de la Serra).
Passionné par la pédagogie, Maciej Pikulski a donné des master-classes en Chine (Shanghai), au Brésil (Sao Paulo), au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, au Conservatoire d’Amsterdam, Conservatoire de Région de Montpellier, à Strasbourg et à la Réunion.
Il est également titulaire du poste de professeur au Conservatoire Supérieur de San Sebastian (Espagne) et enseigne chaque année aux Académies d’été de Nancy.

Compositeur, pianiste et chef d’orchestre de nationalité franco-italienne né en 1970, Pascal Pistone fonde en 1991 l’Orchestre de Chambre Arte Viva, à la tête duquel il se produit fréquemment en France et à l’étranger. Docteur en Musicologie et Directeur du département de Musique de l’UFR ARTS de l’Université de Bordeaux III, il est l’auteur de divers écrits sur la musique du XXème siècle et enseigne notamment l’Analyse, le Théâtre Musical et l’Improvisation. Ses compositions pour piano, ses spectacles de théâtre musical (pour instrumentistes, comédiens, chanteurs, dispositif électroacoustique et vidéo), ainsi que son opéra ou encore sa comédie musicale, reflètent son intérêt pour les correspondances entre la musique et les autres arts. Depuis quelques années, Pascal Pistone a eu l’occasion de se produire dans de nombreux récitals d’improvisations pour l’accompagnement de films muets, dans des lieux tels que : Bibilothèque Nationale de France, Cinéma MK2 Bibliothèque, Université de Bordeaux 3, Auditorium de la FNAC des Ternes et autres.
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Guillaume Plisson a su dès l’âge de 12 ans le chemin qui lui était tracé. Il a développé sa sensibilité et un regard personnel sur ce métier. Plus qu’un photographe, Guillaume est passionné de nouvelles technologies liées à l’image, combinant musique, photographie argentique et numérique. Aujourd’hui Guillaume garde un rêve : démontrer que le photographe peut être un artiste autodidacte et devenir ainsi l’auteur, le compositeur et l’interprète de ses images. Habitué aux rivages tourmentés de sa Bretagne natale, Guillaume Plisson a aussi promené son objectif sur d’autres rives plus célèbres. En 2004, il remontait l’Hudson River à bord de son hélicoptère et accompagnait le Queen Mary 2 lors de son arrivée à New‐York. En 2005, il a abordé des eaux plus calmes mais tout aussi remarquables, celles de la Seine à Paris. Il a plané au dessus de La Cité pour nous offrir « sa vue » de Paris. Des rivages bretons sculptés par la mer, il passe avec tout autant de brio aux monuments phares érigés par l’homme : Manhathan, Lady Liberty , la Tour Eifel, Notre Dame, l’Arc de Triomphe … Bien que passionné par la mer et les bateaux, Guillaume Plisson n’a jamais fermé les yeux devant d’autres beautés. Il pose son oeil d’artiste sur les fleurs et même les végétaux communs que sont les légumes de nos cuisines. Grâce à sa maîtrise de la lumière, la rigueur et l’originalité de ses cadrages, il a su donner à ces objets ordinaires une intensité, une profondeur, un éclat… Il sait révéler la beauté là où nous ne la remarquons pas toujours. Dans un bel ouvrage « Chefs et Saveurs de Bretagne », paru en 2005 aux Editions de La Martinière, Guillaume nous fait redécouvrir l’art de la table.

Guitariste classique français, Emmanuel Rossfelder est un concertiste et soliste émérite. Plus jeune élève du maître Alexandre Lagoya au Conservatoire de Paris, il est nommé Révélation soliste instrumental de l’année aux Victoires de la Musique Classique en 2004.

Réservez vos places pour découvrir ses concerts qui sont « de surprenants voyages musicaux » (Classica).

Le Veronika Rodriguez Jazz Quintet nous offre une musique merveilleuse, formidable, fantastique, et réussit l’incroyable gageure d’enthousiasmer autant le grand public que les spécialistes du jazz. C’est une musique qui affiche pour ambition de transmetttout simplement du bonheur.
La recette, pourtant, semble simple : prendre une poignée de standards américains, les aborder avec ce qu’il faut de respect afin de ne pas les froisser pour ensuite mieux les débarrasser d’une vénérable patine et leur faire enfiler un nouveau costume taillé sur mesure. Une fois les ingrédients réunis faut-il encore avoir la patte pour lier l’ensemble… le Veronika Jazz Quintet s’en sort haut la main grâce à une homogénéité infaillible !
Grâce à des arrangements qui ne s’exercent jamais aux dépens de l’efficacité ni ne négligent des effets de surprise. En effet, qu’il rende hommage à ses illustres prédécesseurs ou qu’il innove dans l’art difficile de l’accompagnement d’orchestre, Jean-Philippe Vidal nous démontre qu’un orchestre se reconnaît avant tout à son arrangeur et à l’originalité de ses sonorités.

 

Midori Sakurai est japonaise, elle vit et travaille à Paris depuis 1991. Après une licence de lettres spécialisé dans la littérature japonaise de l’époque Heian ( 794-1185), elle est envoyée comme journaliste-correspondante à Paris par un magazine de design FP en 1991. Elle collabore ensuite régulièrement avec la presse en tant que journaliste. Elle assiste notamment la rédactrice en chef de VOGUE Paris-Japon. Parallèlement à cette activité et à partir de 1996, elle développe une pratique artistique à laquelle elle a aujourd’hui dédié l’essentiel de son temps. Midori Sakurai manipule le corps, le son et la lumière pour évoquer un espace immatériel. Elle a d’abord effectué de nombreuses performances lumineuses, pour réaliser, aujourd’hui des installations qui mêlent projections vidéo et musique dans des sites évocateurs. Midori Sakuraï déconstruit les corps pour les reproduire à l’infini. Un corps devient une cellule pour former un autre élément qui se transcende. Elle fait de même avec la musique. Elle déconstruit des morceaux de Liszt, Bach ou Debussy pour les recréer avec sa boite à musique. Le son devient limpide, hypnotisant. L’installation tend alors vers le rêve. Midori Sakurai présente un univers onirique qui se joue du corps et de la musique au bénéfice de la poésie d’un lieu et d’un moment unique.

Prix de composition instrumentale, électroacoustique et informatique musicale dans la classe de Philippe Manoury au CNSM de Lyon, André Serre‐Milan parfait sa formation lors de stages au sein de l’IRCAM (Paris) en informatique musicale et de l’ATEM (actuel T&M) pour l’opéra et le théâtre musical avec Pascal Dusapin. André Serre‐Milan conçoit la composition comme une lecture de notre monde contemporain et de la «condition humaine». Comprendre dans notre époque son sens, ses potentialités, et les retranscrire sous forme d’oeuvres utiles pour un avenir partagé et adouci. Comme toute fenêtre ouverte sur l’extérieur, plus on s’en approche et plus l’espace qu’elle dévoile s’élargit. Par cette attitude, ses compositions l’amènent à dialoguer avec d’autres cultures et formes d’expression pour la réalisation de concerts, spectacles musicaux, de danse, de théâtre, spectacles multimédias, installations, réalisation de disques et films. Les nouvelles technologies font partie de son instrumentarium, au même titre que la lutherie traditionnelle. La composition étant pour lui un terrain d’ouverture et d’échanges, il se prête aux invitations et résidences, tant en France (GRM, Art Zoyd, GMEM, GRAME, La kitchen, La Péniche Opera …) qu’à l’étranger (Etats‐Unis : CCRMA‐Stanford et CNMAT‐Berkeley,; Toronto : Array‐Music, Canada; Radio Suisse Romande ; Radio Danoise; Espagne : Phonos‐Barcelone). Il a ainsi été lauréat du Mécénat Musical de la Société Générale et de la Villa Médicis Hors les murs / AFAA, et reçoit des commandes et aides à l’écriture notamment de l’Etat, Ministère de la culture, Radio France, GRM, DICREAM‐CNC, Art Zoyd, GMEM, GRAME, La Péniche Opéra. Il collabore avec les labels discographiques Signature‐Radio France, Naïve, Frémeaux & associés, Maguelone, Thierry Magnier, Textivores et l’éditeur Alphonse Leduc. Ses oeuvres ont été jouées par l’Orchestre Philharmonique de Radio France, l’Orchestre National de Lyon (Chantiers de la création), l’Ensemble Orchestral de Paris, l’ensemble 2E2M, le Quatuor Debussy, l’Ensemble Odyssée… les solistes Christophe Roy, Noëmie Schindler, Pascal Contet, Danièle Ors‐hagen…
Les productions d’André Serre‐Milan ont été sélectionnées par l’International Rostrum of composers 2006 – Unesco, le Prix SACEM 2006 de la partition pédagogique, un Grand Prix et Coup de Coeur de l’Académie Charles Cros 2003, un Coup de Coeur de l’Académie Charles Cros 2005.

 

Musicienne d’origine basque, Maylis TREMBLAY est installée dans le Morbihan depuis 2007. Titulaire du DE et de plusieurs premiers prix de conservatoire, elle enseigne le violoncelle au SIDEM de Questembert/Muzillac. Elle se produit en sonate aux côtés de plusieurs pianistes locaux. Son univers musical est varié, outre le classique, elle a fait partie d’un spectacle de flamenco et s’est naturellement tournée vers un groupe de musique celtique lors de son arrivée en Bretagne. Elle dirige un ensemble de 25 violoncellistes amateurs et professionnels venus de toute la France, réunis autour de leur amour du violoncelle.

Cyrille Weiner est né en 1976 à Paris. Après une maîtrise d’économie, il étudie la photographie à l’Ecole Nationale Supérieure Louis Lumière. Il collabore avec les médias, des institutions culturelles, des acteurs de l’architecture, de la ville et du paysage. Ses réalisations personnelles s’intéressent aux usages et à l’appropriation des lieux. Il explore les porosités entre l’espace public planifié et l’espace intime. C’est une manière d’interroger les représentations de la civilité et de questionner la mise en partage du cadre de vie. La pratique artistique de Cyrille Weiner questionne le pouvoir fictionnel et poétique du document photographique. En 2005, à la demande de la Villa Noailles pour l’exposition Oui, avec plaisir, il pose un regard sur des lieux conçus par l’architecte Patrick Bouchain. La collaboration s’est poursuivie pour Fait main, la matière et la manière au centre d’architecture Arc en rêve du CAPC Bordeaux, et Metavilla pavillon de la France à la Xe Biennale internationale d’Architecture de Venise 2006. Les espaces scéniques conçus par l’architecte Patrick Bouchain et mis en image par Cyrille Weiner sont magiques. Les Harmonies veulent porter un regard sur la scène de l’art vivant en France. Cet espace au cœur de la création, oscille entre réalité et fiction. La scène est un élément fondateur de la poésie d’un spectacle, un lieu d’échange entre les artistes et un public. Dans cet espace, le son et l’image viennent se mêler pour faire voyager le spectateur le temps d’une représentation. Le travail de Cyrille Weiner a été présenté au Musée d’Art Contemporain de Lyon, aux Rencontres d’Arles, à la Villa Noailles à Hyères, au Guangdong Museum of Art (Chine), au Festival of Light à Buenos Aires et au Frankfurter Presseclub.

Milan Vrsajkov studied in Novi Sad, Serbia, with professor Ištvan Varga, and at the Zagreb Academy of Music, in professor Valter Dešpalja’s class, where he graduated with honours in 1991. In 1992 he continued his studies at the Salzburg Mozarteum, where he completed a master’s degree with the following thesis „The issues of performance of soloist cello suites by J. S. Bach“. In the 1994/95 season he perfected his skills at the Mozart Academy in Krakow, with Sandor Vegh and Boris Pergamenschikow. From 1995 on he was a member of the Camerata Salzburg, under the artistic direction of Sandor Vegh and later Sir Roger Norrington, with whom he recorded for the most important record companies as Deutsche Grammophon, EMI, DECCA and performed at the most important musical venues such as the Barbican Hall in London, the Musikverein and the Konzerthaus in Vienna, the Cité de la Musique in Paris, Santa Cecillia in Rome etc. From 1995 to 1997 he was a member of the Stradivari sextet in Vienna. Members of the sextet performed on original Stradivari instruments, lent by the Swiss Stradivari foundation. Vrsajkov played the »De Kermadec-Bläss«, an instrument by Antonio Stradivari from 1698. In 1997 he participated in a chamber music project with György Kurtag in Amsterdam. In 1999 he worked as a soloist cellist in the Rouen opera in France. In 2001 he led a master class at the Kerry School of Music in Ireland. He has performed as a soloist and a member of chamber ensembles at the Berlin Philharmony, the Beethoven hall in Bonn, the Théâtre de la Ville in Paris, the Mozarteum in Salzburg, and numerous important festivals such as the Salzburger Festspiele, Rheingau Festival, Schleswig-Holstein, Mecklenburg-Vorpommern, the BEMUS in Belgrade, Octobre en Normanide in Rouen, the GRAMME in Lyon, the Carintische Sommer and NOMUS. He works with accomplished musicians such as Sergio Azzolini, Christophe Coin, Guiliano Carmignola and others, in various chamber ensembles. He has recorded for ORF, ZDF, Koncertzender Amsterdam, RTV Slovenija, Radio France. As of 2002 he is the programme director and co-founder of the Tartini Festival in Piran and the baroque ensemble “Il Terzo Suono”, whose artistic director is the famed Italian bassoonist Sergio Azzolini. Since 2006 he is a professor at the Conservatory for Music and Ballet in Ljubljana and the principal cellist of the Deutsche Kammerakademie in Neuss.
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Interprète d’un très large répertoire reflétant son imaginaire, conceptrice de projets, musicienne recherchée par de nombreux compositeurs contemporains, Sonia Wieder-Atherton occupe une place à part dans le monde musical d’aujourd’hui.
Après ses études au CNSM de Paris dans la classe de Maurice Gendron et des cours avec Rostropovitch, elle choisir de partir pour Moscou étudier deux ans dans la classe de Natalia Chakhovskaïa au conservatoire Tchaïkovsky. En 1986, peu après son retour, elle devient lauréate du concours Rostropovitch.
Elle joue en soliste avec l’Orchestre de Paris, l’Orchestre National de France, l’Orchestre National de Belgique, le Philharmonique de Liège, le Philharmonique d’Israël, l’Orchestre Gulbenkian de Lisbonne, l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, l’orchestra de la NDR de Hanovre…
Pascal Dusapin, Georges Aperghis écrivent pour elle de nombreuses œuvres, mais également Henri Dutilleux, Wolfgang Rihm, Betsy Jolas, Ivan Fedele..
Elle retrouve régulièrement les pianistes Imogen Cooper, Elisabeth Leonskaja, Georges Pludermacher, Laurent Cabasso, les violonistes Jan Talich, Raphaël Oleg et Sylvia Marcovici, le chœur Accentus ou encore la percussionniste Françoise Rivalland.
Elle a été invitée à interpréter ses projets dont elle a assuré à la fois la conception et la mise en espace, par de nombreux festivals et dans des lieux tels Cité de la musique, Théatre de la Ville, Musica à Strasbourg (France) Bath Music Festival ou Cheltenham (GB) Opéra de Houston (USA) Opéra de Dortmund (Allemagne) : Au commencement Monteverdi par exemple, concert qui tisse de façon originale des duos de Monteverdi et des œuvres contemporaines en solo; D’Est en musique, un spectacle réalisé avec des images du film D’Est de Chantal Akerman.
Chants d’Est, sur le sentier recouvert est la dernière réalisation de Sonia Wieder-Atherton : un concert de la Russie à la Mittel Europa, pour violoncelle et orchestre de chambre (musiques de Rachmaninov, Janacek, Prokofiev, Martinu, Lutoslawski, Dohnanyi, Mahler). Donné au Théâtre de la Ville à Paris en 2007, il est actuellement en tournée.
Arte a consacré plusieurs émissions (Maestro) à Sonia Wieder-Atherton.
Ses nombreux enregistrements témoignent de son parcours : Chants juifs, Au commencement Monteverdi, Trios de Schubert, En sonate (oeuvres pour violoncelle et piano avec Imogen Cooper, duo pour violon et violoncelle avec Raphaël Oleg), En concerto (avec le Sinfonia Varsovia dirigé par Janos Fürst récemment disparu, œuvres de Ravel, Bartok et Chostakovitch), concerto pour violoncelle de Pascal Dusapin.
Son dernier enregistrement Chants d’Est, sur le sentier recouvert est sorti en février 2009 chez Naïve, maison de disque avec laquelle elle a récemment signé un contrat d’exclusivité. Reconnaissant en Sonia Wieder-Atherton l’une des plus puissantes personnalités musicales actuelles, l’Académie des Beaux-Arts en France lui a décerné le « Grand Prix Del Duca de l’Académie des Beaux-Arts » en 1999.

Agnieszka Wogiel est née le 16 février 1982 en Pologne dans une famille d’artistes musiciens.
Dès son plus jeune âge elle s’intéresse à l’art, aussi bien à la peinture qu’à la musique et l’architecture.
Après avoir obtenu son Baccalauréat, elle s’installe à Paris afin d’entamer des études d’architecture durant lesquelles elle continue à exercer la peinture et s’intéresse à la scénographie. Elle prépare plusieurs expositions temporaires en tant qu’assistante de Philippe Renaud, plasticien et scénographe.
Durant ses études, elle s’intéresse plus particulièrement à l’idée de synthèse des arts plastiques. Elle consacre son sujet de mémoire de fin d’études à l’analyse critique d’une revue « Aujourd’hui Art et Architecture » des années 1955-67 qui avait pour but d’associer l’architecture aux arts plastiques.
Pour son projet de diplôme, elle travaille également sur le thème d’une vision 2- dimensionnelle du paysage et d’architecture en utilisant le concept des aplats de couleurs qui se superposent. Après avoir obtenu son diplôme d’architecte, elle passe une année en Belgique où elle a l’occasion de travailler sur son premier projet personnel d’une mise en scène pour un spectacle équestre.
Aujourd’hui, en parallèle de l’architecture, elle poursuit ses recherches sur le thème de la synthèse des arts en voulant associer la musique à la peinture abstraite.

 

Né d’une rencontre musicale entre des univers hétéroclites, Yangbay est le fruit d’un savant mélange entre le didgeridoo et les percussions orientales. Une étonnante harmonie résultant d’une fusion des plus originales.
Nicolas Derolin, joueur de percussions orientales depuis plus de 10 ans, se produit dans de diverses formations – Klezmer, arméniennes, grecques, tziganes, orientales. Il a notamment joué avec Dhamane Khalfa Nassima, Amina Annabi et Elhadj Khalfa, des artistes dont le style l’a beaucoup influencé.
Joueur de didgeriddo depuis 7 ans et de formation autodidacte, Luc Heitz, de part ses influences reggae, hip hop, soul et funk, a la particularité d’intégrer du « Beat Box » lors de ses prestations scéniques sur son instrument. Luc multiplie les rencontres et finit par intégrer le groupe depuis sa création.
Adèle Blanchin, autodidacte, joueuse de didgeridoo depuis 8 ans, aux formations variées, (jazz, electro, afro, funk), a d’abord joué avec des groupes de la scène electro, tels que « Secret Vibes », et notamment lors du Festival des Mondes solidaires en 2003. Son jeu scénique s’affirme entre autre dans la transe et l’electro, styles qu’elle affectionne plus particulièrement.
Wassim Halal, d’origine libanaise, étudie la darbouka en autodidacte. Il s’intéresse aux influences iranienne et indienne sur la musique arabe ainsi que la prose rythmique. Il s’associa avec divers artistes d’autres disciplines (Mélisdjane Sezer, Simona Jovic, …).
La récente participation du groupe lors du grand Festival du Didgeridoo à Airvault « Le rêve de l’aborigène » (juillet 2007), et leur rencontre avec Mark Atkins, un de plus grand didgeridooiste du monde, a consacré et confirmé leur talent.
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